Literature Questions

« Oui, je veux bien, un peu de café, je veux bien. » (l31)

« ils reviendront. / Ils reviennent toujours (l39-40)

« Je suis contente, je ne l'ai pas dit, je suis contente que nous soyons là, tous réunis. » (l41)

« Comment est-ce que tu me parles ?/ Tu me parles comme ça,/ jamais je ne t'ai entendue. » (l12-14)

« Qu'est-ce que ça a à voir avec Louis ? / Qu'est-ce que tu racontes ? / Ce n'est pas parce que Louis est là, qu'est-ce que tu dis ?/ Merde, merde et merde encore ! / Compris ? Entendu ? Saisi ? / Et bras d'honneur si nécessaire ! Voilà bras d'honneur ! » (l19-24)

« Tous les mêmes, vous êtes tous les mêmes ! /Suzanne ! » (l36-37)

« « Oui, je veux bien, un peu de café, je veux bien ». » (l32)

« le repas dure plus longtemps, on a rien à faire, on étend ses jambes » (l2-3)

« Mais merde, toi, à la fin ! / Je ne te cause pas, je te parle pas, ce n'est pas à toi que je parle ! » (l6-7)

« Elle veut avoir l'air,/ c'est parce que Louis est là, c'est parce que tu es là, /tu es là et elle veut avoir l'air. » (l15-17)

"après-midi", "toujours", "dure", "longtemps

L'objet de la théorie de l'argumentation est construit en fonction de 4 principes :

qui (2) écrit la Nouvelle Dialectique: pragmatique, sophismes, argumentation, ?

1820-1850. Mouvement en opposition au courant des Lumières et du classicisme, il remet en question les règles, le gout ainsi que le beau et met l'accent sur le "moi". Il est associé à des émotions fortes comme l'amour, la mélancolie, le mal de vivre, le rêve etc.

1938-1960. Issu de l'existentialisme en philosophie, les auteurs de ce courant abordent surtout l'absurdité de la condition humaine, l'incohérence, la répétition, l'étrangeté, la solitude, le non-sens, l'inconscient et l'insignifiance. Ils refusent le réalisme, la psychologie et les structures traditionnelles de l'art.

1720-1770. Mouvement mettant l'accent sur la raison dans le but d'amener l'Homme vers le bonheur et le savoir, au détriment des préjugés, des dogmes religieux et de l'intolérance. Il prône le progrès, la science, la tolérance et la liberté ainsi que l'acquisition de connaissances.

1857-1900. Né en opposition au naturalisme, ses auteurs préconisent les sensations, la mythologie, les légendes médiévales, les textes bibliques, les révélations, etc. Ils suggèrent davantage les choses plutôt que de les nommer ou de les décrire.

1950-1970. Il nait après la Seconde Guerre Mondiale, ses auteurs sont désillusionnés par l'Homme et ses capacités destructrices. Ils refusent toutes les règles, principes et visions que la littérature avait explorés jusque-là. Certains ont remis en question, voire supprimé, la notion de personnage. Ainsi, leurs personnages n'avaient pas de nom, étaient désignés par une lettre ou par un pronom personnel. Dans d'autres cas c'est la chronologie des événements qui à été abolie. Il met l'accent sur les procédés de narration, les descriptions, les monologues intérieurs etc.

1920-1940. Né après la fin de la Première Guerre Mondiale, il découle du courant dada. Ses auteurs repoussent les limites de la création pour des fins libératrices, révolutionnaires et politiques, ils s'opposent au rationalisme. Ils explorent les thèmes de la révolte, de l'urbanité, des rêves, des femmes et de l'inconscient.

1866-1876. Nait en réaction au romantisme, les auteurs s'inscrivant dans ce courant considèrent les épanchements romantiques comme étant excessifs. Ils traitent l'écriture comme une peinture en harmonisant les couleurs et les effets stylistiques. Les œuvres doivent absolument faire montre de beauté, c'est « l'art pour l'art »! La description, la nature, l'archéologie et l'Antiquité jouent un rôle important.