Political Science Questions

quand est ce que le TEC est mis en place?

Budget de defense de l'Allemagne en 2023?

quand est ce que l'entree du RU en CEE est refuse?

combien de nvx pays ont rejoint l'UE depuis 20ans?

L'euro est le cmb-ieme monnaie d'echange?

qui est le 4e producteur de petrole au monde?

nombre de morts tsunami indonesie 2004

Bertrand Badie distingue quatre catégories d'États selon leur champ d'action concret.1) Les Failed statesIls sont incapables d'assurer les fonctions régaliennes : dans l'arc de crise du Sahel ou au MO ; la Somalie depuis les 90's est aux mains de grands seigneurs de la guerre et est le lieu propice pour la prolifération des jeunesses islamistes ou de la piraterie.2) Le modèle anglo-saxon et néo-libéralIl propose un schéma où la mission principale de l'État n'est que de faire respecter les règles du marché et la liberté d'entreprendre.3) L'État ordo-libéral nippo-rhénanIl contrôle lui de bien plus près les imports/exports ainsi que l'activité des banques et des FMN. L'entreprise y est considérée comme une famille dans laquelle on fait parfois toute sa carrière. Le système de redistribution est préservé : double système de retraite public et privé malgré les allègements du march

appliqué par Baraque Obama après la crise de 2008 visant à mettre en place plus de visibilité, moins d'opacité dans les marchés transparence ) vise à mieux encadrer les produits dérivés, instruments financiers au cœur de la crise financière de 2008, à mieux protéger les consommateurs contre les ventes abusives de crédits et de cartes bancaires, et enfin à mettre un terme à la menace des banques too big to fail

amène l'économiste hongrois Bela Belassa à parler de niveau d'intégration afin de les différencier et les catégoriser. Ainsi il distingue 6 niveaux d'intégration allant d'un simple accord de libre- échange jusqu'à l'union monétaire qu'a réalisé l'UE

ex du projet made in china d'ici 2025 pour se spécialiser et produits plus qualitatifs

Fabless company(En économie, l'externalisation des usines de semi-conducteurs est un cas classique d'externalisation des activités et d'intégration horizontale, qui permet aux entreprises de se spécialiser dans leurs domaines respectifs, d'où une meilleure efficacité de l'économie, quoique plus interdépendant)

Dès 1981, Pierre Rosanvallon dans La Crise de l'État-providence évoque une triple mise à l'épreuve de l'État. Confronté à une crise du financement -du à la hausse du chômage, à la baisse de la croissance et au vieillissement des populations-, à une crise d'efficacité -puisqu'il peine à éradiquer le chômage de masse notamment-, et enfin à une crise de légitimité, l'État semble subir la mondialisation, qu'il a lui même impulsée.

Il s'agit d'empêcher le rachat de certaines grandes entreprises françaises par des concurrents étrangers. Cela évite le rachat de Danon par Pepsi

Malheureusement, « l'État ne peut pas tout » déclarait Jospin en 1999 fermeture d'une usine Michelin. L'État peine à surmonter cette épreuve comme en témoigne les chiffres du rapport Gallois de 2012 en France : si jusque dans les années 2000 les délocalisations ne représentent pas plus de 5% des pertes d'emplois, elles y contribuent à 25% en 2012.

Transnational Relations and World Politics, 1972 : l'action nationale et internationale des Etats est orientée par d'autres acteurs

: 5 grands flux engendrés par les firmes ==> Mondialisation et délocalisation des entreprises, 2017

La guerre civile au Biafra est le premier cas d'ingérence humanitaire. En 1967, elle débouche sur une grave famine qui touche 8 millions de personnes. Comme la communauté internationale est impuissante, les ONG se substituent à l'action des États. John Church Aid met sur pied un pont aérien permettant d'approvisionner les Biafrais.

En 2013 dans Le Retour des États, Michel Guénaire affirme que parler d'un retour suggère que l'État ait complètement déserté certains domaines. Or, malgré des élites politiques largement ouvertes à la mondialisation libérale, l'État français demeure également très interventionniste. Il reste aujourd'hui le 1er pourvoyeur d'emplois (20% des actifs), et ses dépenses sociales représentent 35% du PIBOutre-Atlantique, même au plus fort de la vague néo-libérale des années 1980, Galbraith affirme que l'Amérique de Reagan pratique un keynésianisme à l'envers. L'État américain y a en effet fait le choix d'un spending deficit (= expression qui désigne la situation dans laquelle une organisation ou un individu dépense plus d'argent qu'il n'en gagne ou qu'il n'a de ressources financières disponibles) non pas par la hausse des dépenses publiques mais par les dépenses militaires et du même coup de

Ex : Kodak : forte d'une position dominante dans le film en couleur (Kodachrome) et le jetable (Instamatic), rate successivement l'innovation dans la photocopieuse, le Polaroïd et la photo numérique avant de disparaître, laissant plus d'un millier de brevets rachetés par Apple, Google ...